Nelly Haderer, jeune femme de 22 ans, a été tuée, puis découpée en morceaux, en 1987 près de Nancy. Aujourd'hui le coupable n'a toujours pas été retrouvé. Une comparaison ADN est demandée.
A l'image de l'affaire Grégory, l'affaire Haderer monopolise toujours autant les chroniques judiciaires.
Les deux présentent en effet quelques similitudes.
Les victimes ont été tuées dans les années 80 en Lorraine, et près de 30 ans après, l'énigme demeure toujours, si bien que de chaque côté, les familles espère que la science parlera.
Le corps de Nelly Haderer a été découvert mutilé, en morceaux, à 40 km de son domicile, à Dombasle-sur-Meurthe. C'était le 31 janvier 1987.
Un suspect numéro 1 a été très vite identifié, Jacques Maire, un maçon.
Trois fois, il sera jugé devant les Assises dans les années 2000, et trois fois, il en est ressorti libre.
Il y a deux ans, lors d'analyses ADN demandées par la famille, un ADN masculin a été découvert sur le pantalon de Nelly.
Mais l'investigation s'est arrêtée là. Voilà pourquoi jeudi, la famille a demandé la poursuite de l'investigation.
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Une analyse cruciale donc, sur laquelle la famille fonde ses derniers espoirs.
En revanche, si la science ne parvient pas à faire parler cet ADN, le dossier sera clos.
Les deux présentent en effet quelques similitudes.
Les victimes ont été tuées dans les années 80 en Lorraine, et près de 30 ans après, l'énigme demeure toujours, si bien que de chaque côté, les familles espère que la science parlera.
Le corps de Nelly Haderer a été découvert mutilé, en morceaux, à 40 km de son domicile, à Dombasle-sur-Meurthe. C'était le 31 janvier 1987.
Un suspect numéro 1 a été très vite identifié, Jacques Maire, un maçon.
Trois fois, il sera jugé devant les Assises dans les années 2000, et trois fois, il en est ressorti libre.
Il y a deux ans, lors d'analyses ADN demandées par la famille, un ADN masculin a été découvert sur le pantalon de Nelly.
Mais l'investigation s'est arrêtée là. Voilà pourquoi jeudi, la famille a demandé la poursuite de l'investigation.
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Une analyse cruciale donc, sur laquelle la famille fonde ses derniers espoirs.
En revanche, si la science ne parvient pas à faire parler cet ADN, le dossier sera clos.
