C'est en Haute-Marne en février 2012 que l'enquête s'est ouverte suite à la saisie d'une vingtaine d'armes chez un résident de Celsoy. Après plusieurs mois, un vaste trafic d'une centaine d'armes a été démantelé.
Un vaste trafic international d'armes a été démantelé lundi.
L'enquête portait sur une centaine d'armes de guerre, de munitions et de pièces détachées.
Menée par la Section de recherche de Reims sous la direction de magistrats de la Juridiction Interrégionale Spécialisée de Nancy, elle avait été ouverte il y a presque deux ans.
Le 14 février 2012, les gendarmes haut-marnais avaient procédé à une perquisition au domicile d'un homme résidant à Celsoy suite à un cambriolage.
Ils avaient alors mis la main sur une vingtaine d'armes de poing et d'épaule datant de la seconde guerre mondiale.
Très vite, les premières investigations, menées suite à cette découverte, ont permis de découvrir une filière slovaque puis une seconde originaire des pays des Balkans.
Des centaines d'armes et munitions auraient ainsi transité depuis 2009.
Les malfaiteurs auraient utilisé des sites internet fréquentés par les collectionneurs.
Suite à cette enquête, 45 personnes ont été interpellées en région parisienne, PACA, Rhône-Alpes, Corse et Outre-mer.
38 suspects ont été placés en garde à vue.
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L'enquête portait sur une centaine d'armes de guerre, de munitions et de pièces détachées.
Menée par la Section de recherche de Reims sous la direction de magistrats de la Juridiction Interrégionale Spécialisée de Nancy, elle avait été ouverte il y a presque deux ans.
Le 14 février 2012, les gendarmes haut-marnais avaient procédé à une perquisition au domicile d'un homme résidant à Celsoy suite à un cambriolage.
Ils avaient alors mis la main sur une vingtaine d'armes de poing et d'épaule datant de la seconde guerre mondiale.
Très vite, les premières investigations, menées suite à cette découverte, ont permis de découvrir une filière slovaque puis une seconde originaire des pays des Balkans.
Des centaines d'armes et munitions auraient ainsi transité depuis 2009.
Les malfaiteurs auraient utilisé des sites internet fréquentés par les collectionneurs.
Suite à cette enquête, 45 personnes ont été interpellées en région parisienne, PACA, Rhône-Alpes, Corse et Outre-mer.
38 suspects ont été placés en garde à vue.
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